Depuis mars de cette année, ce mot est omniprésent, ce virus est omniprésent et cela bouleverse nos habitudes et nos vies…Ce qui m’a donné envie de partager avec vous, mon ressenti.
Ce chamboulement général a généré un climat de peur, et pas seulement lié au virus. Toutes les peurs font surface, et elles hurlent, plus fort que la joie, plus fort que la confiance, plus fort que la pensée positives, elles hurlent et elles se font entendre. Les miennes, les siennes, les vôtres… et on « patauge » tous dans la même soupe et c’est angoissant. La peur de perdre son travail, la peur de tomber malade, la peur de perdre un être cher, la peur de faire quelque chose qui pourrait contaminer quelqu’un….et les peurs enfouies; peur de séparation, peur de la mort, peur de perdre la tête et que sais-je encore.
C’est réel, c’est là, mais la vie continue, les oiseaux continuent de chanter (peut-être même plus qu’avant ;o)), le soleil se lève, notre cœur bat. On a certes des privations de liberté, mais on peut encore aller se promener au soleil, on peut lire un livre qui nous plait, écouter une musique qui nous fait vibrer, danser, chanter, prendre des nouvelles des êtres qui nous sont chers. Et si au lieu de ce centrer sur ce qu’on ne peut plus faire et activer la nostalgie, on se centrait sur ce que l’on peut faire ? Chacun dans son coin, mais aussi en lien, les uns avec les autres, il existe des liens invisibles qui nous unissent, alors continuons à penser à soi et aux autres, à unir nos forces, nos joies, notre solidarité, notre empathie, notre générosité. Oui nous traversons une épreuve, mais traversons là ensemble, on se sent tellement mieux dans cet ensemble.
Moi, j’ai besoin de sentir qu’on est fort ensemble, et qu’il y a une masse d’êtres humains qui s’entraide, qui se sourie, qui se bouge pour leur propre bien-être et celui de tous. Soyons-Un, soyons unis, soyons heureux quoiqu’il se passe et croyez-moi ça change tout !
Merci à vous d’être là, merci de me lire, merci de partager, MERCI !